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jeudi 9 octobre 2014

Bora-Bora's Bitches

Auteur : Jacinthe Nitouche

Nombre de pages : 555

Résumé :

Salut les culs, moi c'est Jacinthe Nitouche, Jaja pour les intimes. Que dire à part que je vis ou plus exactement j'essaye de survivre avec trois filles plus cinglées les unes que les autres, Pétra Van de Pute, Jane Moreau et Phillis Pine dans un endroit que nous avons rêveusement surnommé « Bora-Bora ». Oui sur le papier ça peut envoyer de la bûchette mais dites-vous que dans la vie c'est pire. Pour épicer le tout, un mâle de nature indéterminée qui a le don de me mettre le téton en érection et la vulve au court bouillon est apparu subitement sur notre palier. Vous allez donc suivre une année de notre merveilleux quotidien et j’ai envie de dire : « Mais quel quotidien !!!! ». Quoi ? C’est moi qui raconte, je ne vais pas vous dire que notre quotidien est aussi mou que le périnée de Mamie Nova, ce ne serait pas crédible. Voilà, alors après j'ai envie de dire qu'il ne vous reste plus qu'à mélanger tout ça dans un shaker, de verser le tout dans un joli verre à cocktail avec une paille et de le déguster amoureusement.

Ce que j'en pense :

Bora bora’s bitches ou comment faire la rencontre de 4 grandes folles. Totalement déluré. Attention livre à ne pas mettre dans les mains de tout le monde !! Interdit aux moins de 18 mais surtout il faut avoir l’esprit ouvert enfin il ne faut surtout pas être prude par ce que faut être honnête, c’est la vulgarité pure ce bouquin, mais il y a aussi un coté complètement délirant que j’ai adoré !

Comme je l’ai juste aux dessus on fait la rencontre de 4 folles, Jacinthe notre personnage principal de la bande et ses 3 copines qui sont également ses colocataires. Jane qui est la plus « prude » des 4, Pétra qui se lâche au fil des pages et pour finir Phillis la plus folle de la bande.

Au niveau de l’histoire c’est assez basique, je dirais. On suit les filles dans les aventures (d’une nuit très souvent) et surtout plus particulièrement la vie de Jacinthe (Jaja), son job, sa vie surtout sexuelle et compagnie. Rencontre, sexe, délire, voilà ce qui les attend. Une histoire de voisin de palier ultra sexy, mais tout aussi con.

Je me suis vraiment marrée en lisant ce premier tome qui me fend un peu mon cœur d’artichaut à la fin. C’est assez addictif, vulgaire aussi, mais bon j’ai l’habitude alors forcement ça ne m’a pas dérangée. Cul, chatte, bite et compagnies sont à chaque page.

Bref, vous l’aurez compris j’ai adoré, un mélange explosif qui ne plaira pas à nous le monde. Des références à Twilight, 50 nuances de Grey, Vampire Diaries et compagnie qui sont juste génial. Mon seul souci fut le format, car il n’est pas très pratique pour lire.

Petite Citation!

«  On va s’aimer, à toucher le ciel »
Commence par réussir à me toucher et le ciel, on verra après
« Se séparer, à brûler nos ailes »
Gilbert, oublie, tu n’es pas un oiseau
« Se retrouver comme les hirondelles »
Gilbert, je répète : tu n’es pas un oiseau. Il va finir par sauter, ce con
« On va s’aimer, tellement tu es belle »
Ah, enfin une parole sensée dans cette chanson
« On va jeter les clés d’la maison »
Ben voilà une idée qu’elle est bonne, t’es pas un peu con-con toi dans la vie ? On peut aussi brûler notre bagnole ou jeter nos corps par le 11e étage d’une tour.
« On va rêver à d’autres saisons »
Ah non, va crever en enfer, il fait beau on garde celle là
« On va quitter ces murs de prison »
Si toi tu pouvais y rester je pense que la chanson française ne s’en porterais pas plus mal
«  On va s’aimer. Sur une étoile, ou sur un oreiller »
Disons que l’oreiller, là, tout de suite, me semble plus accessible.
« Au fond d’un train, ou dans un vieux grenier »
Evidemment, tu t’en fous, toi, tu la verras pas l’araignée qui va te mater d’un air malsain.
« Je veux découvrir ton visage où l’amour est né »
Désolée de te dire ça, mais tu ne vas pas voir grand-chose
« On va s’aimer. Dans un avion, sur le pont d’un  bateau »
Si ne t’as pas peur que je te gerbe dessus
« On va s’aimer, à se brûler la peau »
Le précurseur de Mr Grey
« Et s’envoler, toujours, toujours plus haut »
Mais il a toujours pas pipé, ce con
« Où l’amour est beau oh ohohohoh »
Alors là, si on ne finit pas en apothéose j’en ai le téton tout retourné moi.


Note :

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